Auto-observation
C'était dans hier matin, quand je me suis révevillée, que je me suis retombée dans un trou profond dans ma vie où il n'y avait aucun d'espoir.
J'ai écrit les mots désespérés qui sont venus dans mon esprit, et puis je me suis levée. C'est le premier jour de mon boulot en France, il faut mieux d'être en un bon état. J'ai pris une douche, mais surtout pour laver les cheveux. J'ai maquillé en mettant le rouge à lèvre rouge comme on m'a exigée. Une journée commence dans un fond de grand chagrin mais avec une maquillage frais et un visage souriant.
Dans mon équipe, il y avait une japonaise, une Taïwanaise et une Coréenne. On orient les groupes touristiques asiatiques dans La Fayette, on dirait plutôt ce sont les groupes des chinois qui se montrent méprisant envers tout le monde. Les chinois riches mais pauvres, avec qui je suis restée debout pendant 5 heures. Bref, la fatigue physique est bien pour la santé puisqu'il ne me reste plus d'énergie d'aller trop loins avec les ennuis.
A 18h, le cours de Monsieur Maingueneau a commencé à la Sorbonne. Pourtant, je n'ai pas pu de me concentrer d'autant plus que la fatigue a été soulagée et la triste a recommencé spontanément. J'ai décidé de ne rien faire qu'écouter ce qu'il était en train de dire. Là, il a expliqué une méthodologie linguistique concernant un corpus d'un discours. Du coup, je me suis senti mieux. Les grands changements sont arrivent soudainement.
Mais le conflit continue. Un conflit entre l'envie de réaliser le désir primordial et d'être plus à l'aise en tant que moi-même,et celle qui veux satisfaire toujours toutes les contraintes qu'on ma imposées. Une seule chose est évidente qu'une transition importante commence au fond de mon coeur, cela me réinvente tout en détruisant ce qui sui je maintenant.